Reporters sans frontières a classé le Bahreïn au 143e rang mondial sur 167 pour la liberté de la presse.
Depuis 2002, suivant la mise en place de la monarchie constitutionnelle, des évolutions positives vis-à-vis du journalisme au Bahreïn ont été implémentées, et la presse bahreïnie d’en est trouvée plus libéralisée.
Les journalistes sont maintenant indépendants, et les attaques à leur encontre sont passibles de sanctions judiciaires. Cependant il est toujours formellement interdit de critiquer la royauté, la religion ou le gouvernement.